Cette section comprend des formats PDF de chaque section de l’analyse de la direction, ainsi que l’analyse
de la direction complète en PDF.
ResponsabilitÉ de la direction pour les États financiers consolidÉs
Depuis le 1er avril 2011, les entreprises canadiennes ayant une obligation d’information du public sont tenues de publier leurs résultats financiers conformément aux Normes internationales d’information financière (IFRS). Le présent rapport s’appuie sur les états financiers de l’exercice terminé le 31 mars 2012 qui ont été préparés en fonction des IFRS. Les données comparatives présentées pour l’exercice terminé le 31 mars 2011 ont été retraitées en fonction des IFRS.
La majeure partie des revenus autogénérés de la Société est constituée de revenus publicitaires, lesquels suivent un cycle saisonnier. En plus d’être influencés par la programmation, les revenus publicitaires varient en fonction des conditions du marché et de l’économie en général. Les revenus d’abonnement sont relativement plus stables d’un trimestre à l’autre. Les dépenses opérationnelles suivent également un cycle saisonnier lié aux variations de la grille de programmation.
Les crédits parlementaires sont constatés en résultat en fonction du budget annuel, qui reflète les influences saisonnières sur les dépenses et les revenus autogénérés.
Ce rapport renferme des déclarations prospectives concernant les objectifs, les stratégies et les résultats opérationnels et financiers escomptés. Ces déclarations s’appuient sur les hypothèses générales suivantes : CBC/Radio-Canada continue de recevoir un financement public relativement stable, le marché des revenus publicitaires à la télévision demeure raisonnablement solide et le contexte de la réglementation de radiodiffusion ne change pas fondamentalement. Les principaux facteurs de risque et d’incertitude sont décrits à la section sur les perspectives et les risques du présent rapport. Toutefois, de nombreux risques et de nombreuses incertitudes qui échappent à la volonté de CBC/Radio-Canada restent difficiles à prévoir. Ceux-ci comprennent, sans s’y limiter, des facteurs liés à la conjoncture économique et financière, ainsi que d’autres facteurs d’ordre technologique et réglementaire. En raison de l’influence de ces facteurs ou d’autres facteurs, les résultats réels peuvent différer considérablement des prévisions contenues, de manière explicite ou implicite, dans les déclarations prospectives.